C’est une pathologie chronique qui provoque, petit à petit, des troubles et des difficultés de la motricité. Au fil des ans, la personne touchée par la maladie de Parkinson verra sa motricité se réduire considérablement. Le rythme de dégradation dépend de plusieurs facteurs, notamment des facteurs génétiques.

Par ailleurs, la réduction de la motricité est causée par la diminution du nombre de cellules neuronales présentes dans la substance noire du cerveau. Le rôle de ces cellules est de, justement, produire la dopamine. Celle-ci est responsable du contrôle des mouvements en assurant la transmission des messages entre les différentes cellules cérébrales. Donc, si ces cellules diminuent, il y’a moins de production de dopamine. Il en résulte une perte progressive de motricité caractérisée par des mouvements rigides et parfois saccadés.

À l’instar de la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer est une pathologie neurologique et dégénérative. Elle se caractérise par la destruction des cellules nerveuses. Il en résulte une perte de mémoire progressive accompagnée d’une forte réduction des facultés cognitives. Selon le degré de l’évolution et de l’avancement de la pathologie, les personnes atteintes commencent à ne plus reconnaître l’entourage proche, les visages et les lieux familiers, les événements etc. Cette perte de mémoire est accompagnée d’une perte de faculté à parler et à s’exprimer due à l’oubli des mots et de leur sens. C’est pourquoi les propos de certaines personnes touchées par la maladie d’Alzheimer paraissent parfois insensés.

Les troubles cognitifs sont caractérisés pat l’altération des fonctions cérébrales liées à la mémoire. Concrètement, dans le cas de troubles cognitifs, les pensées et leur fréquence vont considérablement ralentir entraînant une perte de mémoire voire une démence dans certains cas. Ils sont dus soit à l’avancement de l’âge associés à des facteurs héréditaires soit à un quelconque traumatisme cérébral.